Etienne Cools
« Les réunions consultatives doivent améliorer le contenu des décisions et l’adhésion des habitants. »
J’ai grandi à Montignies-sur-Sambre dans la région de Charleroi. Ingénieur chimiste et des industries agricoles, je suis marié à Geneviève et nous avons 3 enfants de 19 à 25 ans.
Nous habitons Orbais depuis 1995. Pendant mon temps libre, je pêche en rivière… ce qui a orienté mon premier choix d’études.
Certains m’ont peut-être vu en 2010 dans un jeu-documentaire un peu sportif « Une histoire belge » (pour lequel j’avais rédigé une « Ode à la Belgique ») : des Flamands et des Wallons faisaient connaissance, collaboraient,
et s’exprimaient sur le pays en parcourant la frontière linguistique. Plus jeune, j’ai combiné comité étudiant et animation scoute. Actuellement, je suis seulement une « petite main » des associations orbaisiennes… sans mettre mon nom en avant !
En 1997, Ecolo m’a attiré suite à mon intérêt pour le « Piment vert ». A l’époque, une histoire touchant ma famille m’a probablement fait sentir qu’il ne suffit pas d’être un spectateur pour que les choses s’améliorent. Malgré la situation à d’autres niveaux de pouvoir, je ressens une meilleure collaboration dans le cartel qu’en 2012. J’ai plus confiance dans la loyauté de notre partenaire actuel que dans celui que nous avons mis au pouvoir en 2000.
Face à une liste qui a absorbé le PS et vu le mode d’attribution des sièges communaux, toute abstention ou, - pire - la présence d’une troisième liste, serait un cadeau pour la majorité en place !
0470 /21 06 25 - e65cools@gmail.com - 19e candidat – Ecolo - Co-président de la section locale Ecolo - Ingénieur chimiste etdes industries agricoles - Fonctionnaire à la Région de Bruxelles-Capitale - Âge :53 ans
Mes priorités
- La citoyenneté et la participation. Dès qu’Ecolo n’a plus été indispensable à la liste qui occupe le pouvoir, c’est le thème où il y a eu le plus grand décalage entre les annonces et les actes ;
- Les réunions consultatives doivent améliorer le contenu des décisions et l’adhésion des habitants, et pas simplement être un passage obligé pour la subsidiation d’un programme ;
- J’ai lancé notre journal en réaction à la dérive du bulletin communal mais on doit arriver à ce que des publications payées par tous relaient une information correcte, représentative et valorisant tous les élus.